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Brainstown, une mini-ville

Brainstown, c’est la mini-ville de Brainstorming (l’agence de communication dans laquelle je travaille).

Chaque internaute qui se rend sur la page d’une mini-ville participe de ce fait au développement de celle-ci. Un nouveau visiteur = un nouvel habitant. Ensuite, lorsque la population de la mini-ville atteint un certain nombre, les visiteurs peuvent agir sur le développement de la mini-ville en choisissant à quel niveau ils souhaitent agir pour cette mini-ville (Augmenter l’industrie, Améliorer le réseau de transports, Augmenter la sécurité, Améliorer l’environnement, augmenter les commerces).

Et c’est là où ça devient intéressant puisqu’il y a derrière ce concept absolument inutile un vrai moteur d’intelligence artificelle (certes très simple mais quand même). En effet, plus il y a de visiteurs sur une mini-ville, plus sa population augmente et plus elle doit gérer les problèmes qui découlent de sa croissance : chomage, criminalité, encombrement du réseau routier, pollution… et puis exode urbain, incendies… etc.

Ca paraît complétement futile d’un premier coup d’oeil mais finalement ces mini-villes ne seraient-elles pas les laboratoires d’idéalistes socialistes rêvant d’une démocratie participative. Dans ces mini-villes, ce sont les habitants eux-mêmes qui prennent les décisions concernant leur ville. Ni maire, ni députés, ni chef d’état…

Mini-ville est un concept qui a été lancé le 25 juin 2007 par Motion Twin, une Société Coopérative Ouvrière de Production à Responsabilité et à Capital Variable (SARL SCOP), enfin bref une start-up énergique sans modèle économique apparent qui développe des jeux internet pour kidults.

En quelques jours, le phénomènes mini-ville a envahit la blogosphère française. C’est nouveau, c’est webdeux et ça sert à rien. Alors allez-y cliquez, cliquez !!

brainstown

Published inCarnet de route

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